samedi 31 octobre 2009

DATES DE FIN 2009


5 au 8 novembre - Comédie de Picardie, Amiens

O CARMEN

de Olivier Martin-Salvan, Anne Reulet-Simon, Nicolas Vial

musique : Georges Bizet

composition originale : Aurélien Richard

avec : Olivier Martin-Salvan

pianiste et chef de chant : Aurélien Richard

www.comdepic.com


12 novembre - Centre chorégraphique national, Montpellier

ADICHATS / ADIEU

conception, interprétation : Jonathan Capdevielle

conseil artistique : Mark Tompkins, Gisèle Vienne

conseil musical ; Aurélien Richard

www.montpellierdanse.com

www.mathildemonnier.com


17 novembre - Complexe municipal, Tonnay-Charente

18 novembre - Théâtre des Fourriers, Rochefort

19 novembre - L’avant-scène, Cognac

20 novembre - Cinéma l’Eldorado, St Pierre d’Oléron

O CARMEN


25 et 26 novembre - Dôle

Chorus

projet de Mickaël Phelippeau

avec un groupe de choristes issus des chorales la Clé des chants et Chœur à Cœur dirigées par Florence Grandclément

collaboration : Maeva Cunci et Aurélien Richard

www.ccnfc-belfort.org


1er et 2 décembre - La Ménagerie de Verre, Paris

AUTO

conception, chorégraphie et interprétation : David Wampach

conception musical et interprétation : Aurélien Richard

www.menagerie-de-verre.org


4 et 5 décembre - La Nacelle, Aubergenville

O CARMEN

www.lanacelle.org

mardi 6 octobre 2009

CRITIQUE DE LIBERATION SUR "HOKETUS" D'AURELIEN RICHARD


... comme de nuit

Au studio du CDC, Aurélien Richard présente sa chorégraphie Hoketus. Il est sur scène, flanqué par deux toy-pianos reliés à une machine, sur lesquels il martèle des notes simples. Construite sur le modèle des fugues, la musique modernisée, répétitive et suramplifiée, paraît hallucinatoire. Des jingle bells devenus déments, de la porcelaine s’entrechoquant, les interprétations sont multiples. Richard : «Avec le Hoketus, créé par le Néerlandais Louis Andriessen, le corps de l’instrumentiste peut lui aussi être dans l’état d’un corps en mouvement. L’intrusion du silence et de la respiration dans la composition rend possible une musique plus heurtée, un travail sur l’épuisement.» Le danseur Mickaël Phelippeau confirme, en nage.

Gabriel MORAINE, in Libération