mardi 9 décembre 2008

ACTUALITE D'AURELIEN RICHARD


(crédit photographique : Myriam TIRLER)

Après avoir donné "Bukowski, jusqu'à ce que les doigts saignent..." au Babilo (cf. voir l'article du 8 décembre dans l'Humanité sur le blog des Désinents : desinents.blogspot.com), Aurélien RICHARD part en résidence aux Scènes du Jura pour recréer "O Carmen", spectacle qui sera donné pour deux dates à la Scène Nationale de Dôle les 16 et 17 de ce mois, ainsi qu'au Théâtre la Chélidoine à Saint-Angel les 19 et 20, avant une résidence à la Comète de Châlons-en-Champagne et le début d'un mois et demi de représentations au Théâtre du Rond-Point à partir de janvier. Plus d'infos très bientôt...

jeudi 6 novembre 2008

ARTICLE SUR AURELIEN RICHARD, IN "DANSER"


(crédit photographique : Myriam TIRLER)

Bonnes notes

Musicien pour la danse, Aurélien Richard a collaboré avec des chorégraphes comme David Wampach ou son propre frère Alban, avec Forsythe et Kylian à l’Opéra de Paris et avec Maurice Béjart. Il est aussi directeur artistique d’un collectif d’artistes, les Désinents.

Non, Aurélien Richard ne vient pas d’entrer dans la danse. Repéré récemment au côté de David Wampach dans Auto, habitant l’espace avec son piano à l’instar des performances de Joseph Beuys. Il n’est pas non plus parachuté par son frère Alban, avec lequel il a certes collaboré sur Blood Roses, Häftling, A tribute to B. Né à Brest, il ressent le désir de piano dès qu’il sait parler. « J’étais programmé pour la virtuosité, j’étais un bouffeur de partitions ». Dès la quatrième, c’est une vie de solitude : le CNED, les conservatoires, puis, dès quatorze ans, les concerts et même un poste de professeur d’accompagnement à l’ENM du Havre !
Cet adolescent vit éloigné du rock de ses congénères, se nourrit de Messiaen, de Poulenc, de Berg, et réduit dans sa chambre des partitions d’orchestre pour piano. Le choc, c’est-à-dire ce qui va le sortir de sa tour d’ivoire, c’est le premier contrat d’Alban avec Karine Saporta, c’est le Spectre en 1995 au Théâtre de la Ville. Chopin, le romantisme, mais aussi et surtout la grâce de la danse.

Trois ans plus tard, il quitte le Havre pour Paris et passe une audition pour être chef de chant à la section danse de l’Opéra. IL est pris, Brigitte Lefèvre l’oriente alors, en tant que sang neuf, vers les créations contemporaines. « C’est ainsi que j’ai travaillé avec Forsythe sur In the Middle…, Pas/parts, Wound Work ; Kylian ensuite, pour Doux mensonges avec William Christie, j’ai coaché danseurs et musiciens dans la même musicalité du corps. » C’est que pour Aurélien, « un corps qui vit et qui chante, c’est une vibration dans l’espace. » Ainsi, pour lui, la dérive d’un musicien qui donne un récital, le risque permanent, c’est de ne pas être touché par les différences corporellement parlant. Car Beethoven exulte le corps, Bach est plus psychique par exemple. Un pianiste doit être sensible aux énergies.

Par rapport à la danse, un musicien ou un DJ doit se poser la question de sa légitimité sur le plateau, et songer à projeter dans l’espace sonore son corps d’interprète. La danse procure à Aurélien un rythme de travail qui lui convient, « entre solitude et plateau, je navigue ». En effet, un musicien sans la danse vit « un sacerdoce avec son instrument ». La danse lui permet de s’ouvrir aux autres, sans jamais composer avant d’avoir capté le mouvement, rencontré les danseurs. « Je me plie à mon corps donc je me plie aux corps des autres. Tout doit s’imbriquer ; il est vrai que dans mon travail sur la Neuvième Symphonie avec Béjart, c’était a priori, différent de ma fonction de metteur en scène avec mon ensemble les Désinents. Mais même là, j’ai entendu donner des clefs de compréhension de la musique aux danseurs ». Il voit en effet la musique comme un élément de la danse, quitte à faire chanter les danseurs comme dans Häftling. Ou quitte à évoluer lui-même avec ses compétences de pianiste, de compositeur, de metteur en scène, réquisitionnées toutes par David Wampach dans Auto. « Cette pièce peut encore changer, tout s’y est élaboré pendant le processus de création. Cela étant, ce lâcher prise n’est pas un laisser aller. David ne parle pas de lui en tant qu’individu, mais à travers le prisme de quelque chose d’universel et de construit. Avec Raphaëlle Delaunay avec qui je vais collaborer, l’enjeu sera de dépasser la virtuosité pour laquelle nous étions tous deux programmés, mais sans outrance. »

Oui, Aurélien tient à la partition. Elle a beau changer parfois tous les jours en atelier, elle constitue le nœud du challenge. Ainsi, à l’instar de la colombe de Kant qui est d’autant plus libre qu’elle obéit à des lois, la contrainte est pour ce musicien qui danse le prix de la liberté.

Bérengère ALFORT in Danser, novembre 2008

mercredi 29 octobre 2008

CONCERT : KASSELER MUSIKTAGE 1er novembre 08


Rappel : concert d'Aurélien RICHARD et du quatuor Diotima le 1er novembre 08 à 18 h au Ballhaus am Schloss Wilhelmshöhe à Kassel, enregistré par la Hessische Rundfunk

"INSTRUMENTALE KORRESPONDENZ"

Leoš JANACEK: Pohádka, Streichquartett "Intime Briefe"
Miroslav SRNKA: Pouhou vlnou, Streichquartett 2004, Simple Space

www.kasseler-musiktage.de

mercredi 10 septembre 2008

DATES OCTOBRE A DECEMBRE 2008


(crédit photographique : Myriam TIRLER)

Pianiste :

- 18 octobre 08, 17h30 : "récital-intrusion" avec Odile DUBOC, Emmanuelle VO-DINH et Alban RICHARD, oeuvres de RAMEAU, WAGNER, MESSIAEN et DUSAPIN, Le Forum, LE BLANC-MESNIL
- 23 octobre 08, 22h : "20 Regards sur l'Enfant-Jésus" d'Olivier MESSIAEN, avec Vanessa WAGNER, Festival Automne en Normandie, Auditorium du Conservatoire, ROUEN
- 24 octobre 08, 20h30 : "O Carmen", spectacle de Nicolas VIAL avec Olivier MARTIN-SALVAN, Atelier du Rhin, COLMAR
- 25 octobre 08, 18h : "O Carmen", spectacle de Nicolas VIAL avec Olivier MARTIN-SALVAN, Atelier du Rhin, COLMAR
- 1er novembre 08, 18h : concert JANACEK/SRNKA avec le Quatuor DIOTIMA, Ballhaus am Schloss Wilhelmshöhe, Kasseler Musiktage, KASSEL (concert enregistré par le Hessische Rundfunk)
- 4 décembre 08, 21h : "Bukowski, jusqu'à ce que les doigts saignent", lecture-concert avec Eric FREY, Le Babilo, PARIS
- 5 décembre 08, 21h : "Bukowski, jusqu'à ce que les doigts saignent", lecture-concert avec Eric FREY, Le Babilo, PARIS
- 16 décembre 08, 20h30 : "O Carmen", spectacle de Nicolas VIAL avec Olivier MARTIN-SALVAN, Scènes du Jura, LONS-LE-SAULNIER
- 17 décembre 08, 20h30 : "O Carmen", spectacle de Nicolas VIAL avec Olivier MARTIN-SALVAN, Scènes du Jura, LONS-LE-SAULNIER
- 19 décembre 08, 21h : "O Carmen", spectacle de Nicolas VIAL avec Olivier MARTIN-SALVAN, La Chélidoine, SAINT-ANGEL
- 20 décembre 08, 21h : "O Carmen", spectacle de Nicolas VIAL avec Olivier MARTIN-SALVAN, La Chélidoine, SAINT-ANGEL

Conférencier :

- 24 octobre 08, 9h : "Autour de MESSIAEN", avec le Quatuor DIOTIMA, Opéra, ROUEN
- 5 novembre, 9h30 : "Des concerts commentés...", Théâtre du Château, EU
- 21 novembre 08, 14h : "Etre lieu et temps", Centre National de la Danse, PANTIN

mardi 8 juillet 2008

AUTO (CRITIQUE) in Mouvement.net


" Wampach foutraque, Cathala implacable
Deux nouvelles pièces marquantes au festival Uzès Danse

Radicaux et efficaces, David Wampach et Hélène Cathala ont imposé leurs styles dans le paysage chorégraphique haut de gamme du festival. Lui, présentait Auto (créé aux Rencontres chorégraphiques de Seine-Saint-Denis) où il incarne – corps et âme – un travesti ; elle, faisait découvrir sa dernière création, Exode 1.25, définitivement déconcertante.

Les voyages forment la jeunesse des esthétiques. Depuis quelques mois, plusieurs artistes chorégraphiques français, de retour de répétitions à Lisbonne, ne jurent plus que par le Finalmente. Dans la capitale portugaise, ce petit cabaret travesti propose chaque lundi une soirée amateurs. Croyons-en nos artistes voyageurs : ce rendez-vous est unique sur la carte de l’Europe. Auto, toute nouvelle pièce de David Wampach, l’immortalise. Tout s’y passe comme si cet artiste avait nourri un autre projet, pour finalement laisser la découverte du Finalmente bousculer son propos ; le contaminer, et produire un spectacle inclassable, hors genre et imprévisible. Délicieusement foutraque.
Hors genre ? En tout cas transgenre.
De bout en bout, David Wampach l’interprète en travesti. Robe, perruque, talons aiguilles. Décalé, très physique, mais comme ailleurs. Là où on ne l’attendait pas. Un rien réservé, flouté. Pourtant si présent. Même pas parfait. Combien connaît-on de travestis « parfaits » ? Là n’est pas le pouvoir du travesti. Le travesti illumine d’une autre manière : il bricole, il s’arrange, mais par cet à-peu-près touche à des déterminants parmi les plus intimes et constitutifs. Le masculin. Le féminin.
Dans cet écart entre effets et moyens, le travesti fascine. Chancelant, outrancier, il n’en touche pas moins le cœur de cible du trouble et des passions de la métamorphose ; du spectacle. La feuille de salle d’Auto distribuée au festival d’Uzès ne mentionnait, pour note d’intention, que les mots desillusionsdesillusionsdesillusions, répétés soixante-dix neuf fois en cascade. Des illusions. Désillusion.
Auto est également interprété par un musicien, Aurélien Richard, sur un piano qui ne cesse de rouler sur scène, parcourant tout l’espace. Au côté d’un danseur parfois limité par ses évolutions haut perchées, on n’a jamais vu musique saisie d’un mouvement chorégraphique aussi gaillard. D’autant que ses sonorités puissantes, métalliques et flamboyantes, peuvent continuer de se déployer si le musicien se retire : qu’est-ce qui est joué live ? Qu’est-ce qui est enregistré ? Quel support ? Quelle partition ? Y a-t-il un son plus vrai qu’un autre ? Tout bouge.
Un autre grand décollement se produit dans la machine à spectacle. Cela par la projection de vidéos. Où se trouve Wampach ? A l’écran, côté images. Hors champ, comme réalisateur. Mais encore présent en réel devant l’écran, interprétant ses propres personnages, dans une hyperbole d’énergie hystérisée. Tout bouge. Ces films paraissent une captation de show au Finalmente, mais tout autant un décalque décalé, exagéré, de Carrie, de Brian de Palma, ou Desperate Living de John Waters.
Zébré, sans peurs, touchant et drôle, David Wampach manie ici la référence pour mieux s’en affranchir, déjouant tout risque d’application, ou pontification. Concluant sur un pastiche de numéro de femme sciée, de corps défait, de spectacle foiré, Auto respire une joyeuse liberté.

(...) "

Gérard Mayen

mercredi 2 juillet 2008

SAISON 08-09


bonjour à tous,

vous pouvez trouver sur mon myspace le détail des dates que je donnerai la saison prochaine : www.myspace.com/aurlienrichard

Je reprendrai notamment le spectacle "O Carmen" pour une série au Théâtre du Rond-Point et en tournée, ainsi qu'"Auto", spectacle de David WAMPACH.

Egalement, des concerts importants :

- l'intégrale des "20 Regards sur l'Enfant-Jésus" d'Olivier MESSIAEN en compagnie de Vanessa WAGNER, dans le cadre du festival Automne en Normandie

- un concert avec le quatuor Diotima à Kassel.

Une collaboration démarre avec la créatrice lumière Caty OLIVE : nous avons tous deux volonté de travailler à l'élaboration d'un objet particulier, s'articulant autour de l'"Art de la Fugue" de BACH. Ce sera un projet signé de l'ensemble les Désinents.

Enfin, je reprends le travail avec Alban RICHARD et l'ensemble l'Abrupt, lors d'une soirée discussion avec deux autres chorégraphes, Odile DUBOC et Emmanuelle VO-DINH, ainsi que d'un stage proposé au Centre National de la Danse.

D'autres projets sont à l'étude...

A bientôt pour de plus amples détails et nouvelles !

vendredi 20 juin 2008

AUTO...CRITIQUE(S)

Un article sur AUTO, paru dans Libération, intitulé "Les corps sous pressions" :


"David Wampach, qui a étudié la médecine et le théâtre avant de basculer dans la danse, Hooman Sharifi avec une compagnie fondant Iran et Norvège, Pierre Rigal avec sa compagnie Dernière Minute de France, font corps commun pour une soirée sans limite au Théâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis. L’an prochain, le nouveau directeur Christophe Rauck pourrait ne plus vouloir accueillir le festival… Dommage, car les spectacles proposés n’étaient pas rien. Dans Auto, David Wampach se prend pour la folle qu’il est, figure récurrente de la danse. En duo avec le compositeur et le pianiste Aurélien Richard, il mène sa sarabande plutôt gore. Il passe en détail, dans un film de famille genre Proust acculé à prendre sa madeleine dans une taule à traves, les défauts qui troublent l’ordre sexuel. Impeccable jusqu’à la perruque, semblable à celle de Samanta, plantée sur un corps juvénile, il rend compte des violences familiales et matricides.
(...)
Ces trois spectacles disent bien le désarroi engendré par la brutalité, voulue ou subie. Avec un brin d’humour, à rebrousse-poil."

Marie-Christine VERNAY


Et un autre, à retrouver sur le site paris-art.com/danse :


" Création aussi énigmatique que critique, Auto joue sur l’attente du spectateur autant que sur sa déception. Une drôle de pièce : exigeante, déroutante, sans précédents …

Le programme des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis annonçait une pièce prenant pour sujet « le rapport danse-musique, trop souvent réglé sur pilote automatique », d’où son titre, Auto, préfixe signifiant que l’élément en question s’exécute tout seul. Au sortir du spectacle, on se demande surtout ce que l’on vient de voir, on s’interroge. Et, lorsqu’une ouvreuse nous glisse enfin le dépliant qui accompagne la représentation, on se heurte à ces mots : « desillusionsdesillusionsdesillusionsdesillusions … »

Non content de démonter tout lien d’évidence entre danse et musique, David Wampach brouille également ceux qui unissent le spectacle à son texte, qu’il précède ou qu’il suive la représentation. S’il s’avère toujours délicat d’écrire à propos de danse, ce type de proposition problématise encore plus l’exercice.

Sur scène, le spectacle s’ouvre sur les déplacements d’Aurélien Richard, interprète et compositeur de la partition d’Auto. Tout en frappant avec régularité une même note sur son piano, il fait glisser l’instrument de part en part du plateau. Son visage, recouvert de mousse à raser, évoque les bustes en plâtre des compositeurs célèbres, tandis que son corps, habillé de noir, se fond, comme son piano, dans la pénombre de la scène.

Ces apparitions alternent avec celles de David Wampach, travesti en femme. Perché sur de hauts talons, vêtu d’une robe laissant le dos nu et d’une longue perruque blonde, il arpente la salle lentement, arborant une attitude énigmatique, avant d’entamer une danse langoureuse. Ce sera le seul véritable moment de danse à proprement parler. Accompagné d’accords plaqués frénétiquement au piano, en une succession plus rythmique que mélodique, David Wampach semble évoluer sur une musique électronique réinterprétée au piano. Il exécute avec une précision d’entomologiste la chorégraphie sexy, maniérée, coquette et un peu trash des jeunes femmes en boîte de nuit.

D’abord comique, la performance se teinte peu à peu d’une charge tragique qu’instaure le décalage musical. Sortie de son contexte, cette danse perd sa justification, et, par-là même voit son caractère sexuel amplifié. Le double travestissement qui s’opère concourt ainsi à une mise en tension, à la formation d’un malaise dans la réception de ces gestes sensuels. Deux projections vidéos font suite à cette danse, deux remakes dans la lignée des Body Double de Brice Dellesperger, accompagné au piano pour celui de Carrie, et par un doublage ouvertement bricolé en live par David Wampach pour Desperate Living.

En choisissant de citer ces deux fables extrêmes de la féminité (celle de l’intériorité inacceptable et dévastatrice que représente Carrie ; celle du road trip lesbien, également destructeur, de Desperate Living), Auto offre une vision hystérique, fortement critique, des poncifs de la féminité. Par ailleurs, le démontage des notions de off, de in, de live établit aussi un doute quant à l’identification des sources, leur assignation. Ainsi lorsque Aurélien Richard réapparaît derrière son piano, qu’il pousse jusqu’à nous, on ne se doute pas que c’est un dernier leurre : soudain, il lève les mains et pourtant la musique se poursuit. Car ce n’est pas un piano mais une boîte d’illusionniste, où David Wampach, accoutré en assistante de prestidigitateur, va se glisser avant d’être détaillé en morceaux. Le trucage est énorme, si malhabile qu’il met mal à l’aise. Et c’est sur cet accomplissement que s’achève le spectacle, sur notre complicité face à une illusion, des-illusions, qui ne trompent personne et qui pourtant continuent de se produire."

Sophie GRAPPIN-SCHMITT

mardi 10 juin 2008

AUTO A UZES


"AUTO", création chorégraphique de David WAMPACH dans laquelle je suis interprète et compositeur, sera donnée pour la dernière fois cette saison au Paillé dans le cadre du Festival Uzès Danse :

samedi 14 juin à 19:30.

En espérant vous y voir !

mercredi 4 juin 2008

CONCERT COMMENTE DU 8 JUIN : PROGRAMME


Je jouerai dimanche qui vient en l'Eglise Saint Gervais Saint Protais de Gisors à 16 heures des oeuvres de BEETHOVEN, BOUCOURECHLIEV ainsi que mes études n°7, 8 et 9 en création (certaines ont déjà été données dans leur première version au CCN de Montpellier et au TGP de Saint-Denis dans le cadre du spectacle de David WAMPACH "Auto"). A noter que ce concert est commenté et que le piano en direct est contrepointé par d'autres pianos pré-enregistrés (prise de son : Félix PERDREAU). Ceci marquera la dernière apparition des Désinents pour la saison 07-08 à Gisors.

dimanche 25 mai 2008

AUTO AUX RENCONTRES CHOREGRAPHIQUES


"AUTO", la nouvelle création chorégraphique de David WAMPACH dans laquelle je suis interprète et compositeur, sera donnée au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis dans le cadre des Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis :
vendredi 30 mai à 19:45
samedi 31 mai à 19:30
dimanche 01 juin à 18:00.
En espérant vous y retrouver !

lundi 12 mai 2008

MYSPACE MUSIC


Juste pour vous avertir de l'ouverture d'un myspace music à mon nom :
myspace.com/aurlienrichard
Vous y trouverez quelques nouvelles compositions en ligne, enregistrées à Blois il y a près d'un mois avec Félix PERDREAU, régisseur son.
A noter que mes études n°7, 8 et 9 pour piano seront créées à Gisors le 8 juin prochain, et qu'un premier état de l'étude n°8 figure dans le spectacle "Auto" de David WAMPACH donné lors des Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine Saint-Denis les 30, 31 mai et 1er juin prochains.

lundi 7 avril 2008

CARMEN ET AUTO...


Quelques informations sur les prochains spectacles dans lesquels je suis interprète et compositeur, à glaner sur les sites suivants :

- AUTO, création chorégraphique de David WAMPACH :

http://www.rencontreschoregraphiques.com/2008/
http://www.uzesdanse.fr/

- O CARMEN, théâtre musical mis en scène par Nicolas VIAL :

http://www.top-bb.fr/

samedi 15 mars 2008

APRES BERLIN...


chers tous,

après avoir passé deux semaines au Podewil à Berlin pour continuer le travail sur la création de David WAMPACH "Auto", je commence aujourd'hui une nouvelle collaboration avec Olivier MARTIN-SALVAN, chanteur/acteur et Nicolas VIAL, metteur en scène. Il s'agit d'un spectacle autour de Carmen, dans lequel je tiens la partie de pianiste. Les premières sont prévues les 9 et 10 avril prochains, au Théâtre de l'Ouest Parisien à Boulogne-Billancourt, avant une tournée prévue la saison prochaine, avec notamment un accueil au Théâtre du Rond-Point en janvier et février. Des nouvelles très bientôt sur ce blog !

samedi 2 février 2008

QUELQUES NOUVELLES...



Planning chargé en ce début d'année :

- préparation des concerts de fin de saison, oeuvres : Harmonies poétiques et religieuses de Franz LISZT ; Sonate opus 110 de Ludwig van BEETHOVEN ; Archipel 4 d'André BOUCOURECHLIEV ; Etudes de Pascal DUSAPIN ; Catalogue d'Oiseaux d'Olivier MESSIAEN ; Vingt Regards sur l'Enfant-Jésus d'Olivier MESSIAEN

- créations musicales pour le film de Guy MADDIN "Et les lâches s'agenouillent", pour la nouvelle pièce de David WAMPACH "Auto"

- début de la révision des "Etudes pour piano" écrites entre 1996 et 2002 et esquisses préparatoires d'une "Etude n°7" dédiée à Vanessa WAGNER, ainsi que d'un "Quatuor à cordes" dédié au Quatuor DIOTIMA

- préparation d'un projet de DVD musicaux commentés, premier numéro avec Vanessa WAGNER au piano et Anthony GIRARD, analyste

- préparation de la seconde étape de travail autour de "Medeamaterial", opéra sur le texte de Heiner MÜLLER, avec l'ensemble Les Désinents

- préparation des créations 2009 de l'ensemble les Désinents : "Outrage au désert", théâtre chorégraphique autour d'un texte de Peter HANDKE et d'une oeuvre musicale d'Edgar VARESE ; "(interférences)", pièce chorégraphique et musicale sur des musiques de Luciano BERIO et Philip GLASS.

Voilà pour les quelques nouvelles de ce début du mois de février...
A bientôt,

lundi 7 janvier 2008

LE BLOG DES DESINENTS


chers tous,

juste pour rappel, l'actualité des Désinents est sur :

www.desinents.blogspot.com

A bientôt !